Jacques BOUVERETTémoignage
Bonjour Arlette,
J'apprend trop tard la triste nouvelle et te souhaite beaucoup de courage. Je lui ai encore parle à la fin septembre et m'a informé de sa maladie. J'ai perdu un autre ami de la même peste et je connais les souffrances qu'il a enduré. N'empèche que je garderai en moi une image d'un homme gai, plein de vie et toujours actif, ainsi que les jours ou tu téléphonais et que nous déjeunions ensemble. Il est loin le jour ensoleillé ou vous êtes venus au mariage de notre fils. Depuis ce temps, il a divorcé, des amis sont morts, des parents ont disparus, des connaissances ne sont plus là. Je t'ai revue à Nivelles pour mon dossier de transfert de contrat belge vers le Luxembourg et cette passe c'est relativement bien passée. Malheureusement, j'ai été licencié le premier septembre par le même administrateur délégué et je procède juridiquement au tribunal du travail. A quoi tous ces ennuis quand nos proches disparaissent trop vites. C'est trop injuste de souffrir ainsi.
Même si nous ne nous connaissons pas, accepte mes plus sincères condoléances et te souhaite de reprendre gout à la vite.
Amicalement pour Lib,
Jacques