Roland DrauxCondoléance
Sylvie et moi ne partagions plus le même site de la Haute Ecole ; nos rencontres étaient donc devenues sporadiques. Cependant, jamais je n’oublierai la joie et le plaisir partagés lors de nos retrouvailles.
A l'heure où il ne vous reste que les souvenirs d'une maman et d’une épouse aimée,
on voudrait relire le livre d'une vie pleine de tendresse,
on voudrait retenir les moments d'un bonheur partagé,
on voudrait s'arrêter à la page de l'insouciance.
Le temps à venir adoucira votre peine mais n'apportera jamais l'oubli.
Je vous assure de toute mon amitié,
Roland DRAUX